dimanche 31 janvier 2010

"Des pharaons balle au pied" titre l'Equipe...

On ne pouvait pas laisser passer ça !
"Ce 31 janvier 2010, L'Egypte est entrée dans l'histoire de la Coupe d'Afrique des Nations - CAN, en remportant à Luanda sa 3e CAN d'affilée (2006, 2008 et 2010), record désormais à battre. Les Pharaons ont conquis leur 7e CAN au total en battant sur le fil le Ghana (1-0) lors d'une finale peu enthousiasmante car trop verrouillée. Même si elle n'a pas réalisé une grande finale, l'Egypte, dont c'était le 19e match consécutif sans défaite en CAN, peut également avoir la satisfaction d'avoir battu quatre des cinq équipes du continent qualifiées pour la Coupe du monde en Afrique du Sud, soit le Nigeria, le Cameroun, l'Algérie et donc le Ghana".

Alors vous me connaissez, je ne pouvais pas ne pas rebondir sur cette actualité !
Ma quête du jour a donc été de voir en quoi le sport était déjà une affaire d'état ou non du temps des pharaons.

Et à ma grande surprise, à l'image des familles royales ou monégasques d'aujourd'hui, les pharaons eux même étaient de grands compétiteurs...certes le football n'existait pas mais nombre de leurs sports n'étaient pas très éloignés des sports modernes que nous connaissons.

Lu sur le net :
De nombreux témoignages (décorations des tombes, des vases,ostraca, etc.) laissent à penser que les activités sportives occupaient une part importante des loisirs des jeunes égyptiens de l'Antiquité

Bien que certaines activités (notamment les activités martiales) soient plutôt réservées aux aristocrates, il semble que les gens de toutes classes s'adonnaient à une multitude de « sports ». Nous n'avons pas trace de compétitions de l'envergure des jeux Olympiques, mais des compétitions avaient bien lieu.

Certains pharaons sont célèbres pour leurs exploits sportifs qui grandissaient leur aura et plus encore leur dimension divine, en particulier Amenhotep II. Dans La civilisation de l'Égypte antique (Arthaud 1965), François Daumas raconte que, jeune prince très athlétique, le futur pharaon était capable de bander son arc au point que les flèches « traversaient de part en part des saumons de cuivre épais de six centimètres ; les pointes dépassaient la cible de vingt centimètres ». Amateur de chevaux, il réalisait également des performances en attelage.

Les nobles pratiquaient la chasse pour se divertir. La plus périlleuse d'entre elle était la chasse à l'hippopotame. Pharaon chassait aussi le lion, le taureau sauvage, l'antilope : des bas-reliefs de Médinet-Habou représentent ainsi Ramsès III chassant sur son char.

Parmi les autres sports : athlétisme ; boxe ; course de chars ; sports nautiques ; tir à l'arc : le sport par excellence à cette époque (les archers visaient notamment des lingots de cuivre) et enfin la lutte très représentée dans de nombreux tombeaux.

En plus de la lutte, il y avait l'escrime au bâton, restée pendant longtemps une activité que l'on peut encore observer dans les villages et même les quartiers populaires. Les escrimeurs évitaient les coups de l'adversaire au moyen de courroies liées autour du bras gauche.

Les femmes pouvaient aussi se livrer à des
jeux de balles et pouvaient lors de ce jeu se retrouver sur les épaules de leurs compagnes.
Les Egyptiens pratiquaient aussi un sport qui se rapproche du
hockey sur gazon. Il est joué avec un bâton en branche de palmier et la balle est en fibre de papyrus. Il se joue toujours à la campagne.
Enfin, une curieuse structure, trouvée auprès des restes d'un groupe de maisons de deux pièces et remontant à l'époque ptolémaïque, a été découverte dans le Fayoum. Il s'agit d'une dalle de pierre comportant deux trous, l'un rond, l'autre carré et de deux boules de pierre dont le diamètre leur permet de remplir les trous. Il pourrait s'agir
d'un terrain de bowling.

Tout le monde (je veux dire le monde des blogs d'eyptologues, egyptologistes, egyptocrâneurs, égyptoadicts...) parle de ce fameux terrain de bowling de Fayoum mais impossible de dénicher une photo...
Trop déçue...
Si quelqu'un en trouve une illustration je suis preneuse...

mercredi 27 janvier 2010

Un sphinx peut en cacher un autre

Pas besoin d'être un égyptologue érudit (d'ailleurs peut on être le premier sans être le second ?) pour avoir remarqué que les animaux sont très présents dans les hiéroglyphes et histoires égyptiennes.
Un symbole hiéroglyphe sur 4 provient du monde animal ce qui représente à peu près 170 symboles avec le palmarès suivant : tout d'abord des oiseaux et les mammifères, puis viennent les batraciens, les reptiles, les poissons, les invertébrés.

Parmi tous ces animaux il y a la grande catégorie des animaux mythiques comme le serpopard, les serpents à plusieurs têtes et 4 pattes, l'oiseau bâ, l'abjou, le griffon (tient donc  ? ^^ je le croyais à Poudlard celui là !) ... et bien entendu le fameux sphinx !

Pour moi le sphinx était un félin allongé, les papattes antérieures  bien alignées l'une contre l'autre et la tête était celle d'un bel homme au profil grec enfin jusqu'à ce qu'Obélix ne lui casse le nez...pfuuuut !)
Que nenni : les lion, faucon, bélier, chien et même crocodile entrent dans les formes composites des sphinx. Il existe des sphinx à queue de crocodile et des sphinx à tête de faucon, beaucoup plus rares, qui semblent toutefois représenter l'image la plus ancienne du sphinx couché. Au nouvel Empire apparaissent même des sphinx à tête de bélier...

On n'a pas intérêt à oublier nos lunettes pour repérer tout ce petit monde sur les bas reliefs et autres fresques.

Pour finir, vous ne le savez peut être pas, mais dans nos blogs de voyage on joue parfois... Ah ! les gagnants des authentiques attrape-rêves Navajo ou des savoureuses gousses de vanille de Tahaa s'en souviennent ! La compétition est parfois farouche...

Alors voici le premier petit jeu :

une petite lampe d'Aladin en cuivre pour celui ou celle qui donnera le (ou les) nom(s) de  l'animal mythique qui est composé de 3 animaux différents : la crinière et le corps du lion (ou du léopard pour le corps), l'arrière-train de l'hippopotame (mais pas n'importe lequel : un hippopotame femelle s'il vous plait) et la tête du crocodile...

samedi 23 janvier 2010

L'Egypte pharaonique berceau de la danse du ventre


"L'histoire et les origines de la "danse du ventre" sont très controversées, ainsi que sa fonction artistique et sociale. Contrairement aux Occidentaux, on remarque que les écrivains et les artistes arabes n'ont jamais abordé sérieusement ce sujet, alors que la danse orientale remonte à des temps immémoriaux.

A l'origine, cette danse servait :

à exprimer l'ivresse et le désir sexuel
à atteindre un état de transe au cours de fêtes et de rituels religieux
à conjurer le mal
aux offrandes aux divinités
à célébrer des fêtes traditionnelles : moissons, crues du Nil, etc...
à se détendre

Sur les origines de la danse plusieurs courants de pensée se distinguent

Les Egyptiens se seraient inspirés de la danse Nubienne, les Arabes de la danse du nord de l'Inde, elle serait née en Mesopotamie ou bien encore son berceau serait l'Egypte pharaonique etc.

Raqs sharqui en arabe se traduit par "danse orientale", mais dans les pays du Maghreb elle prend le nom de danse massri, Or ce terme vient du mot  massr qui désigne l'Egypte en langue Arabe.
En Grèce, en Turquie, en Iran, en Irak et dans tous les pays arabes, on peut voir une multitude de danses orientales ; toutefois les connaisseurs s'accordent à dire que c'est en Egypte que la danse orientale a atteint un tel degré de perfection prouvant que cet art en est originaire."

Cet article est extrait du sympathique site www.egyptissime.com

jeudi 21 janvier 2010

Les 10 plaies d'Egypte

"L’Ancien Testament rapporte que dix plaies frappèrent l’Egypte alors que Pharaon refusait de libérer le peuple hébreu tenu en esclavage. La colère divine a toujours été la théorie officielle de cet épisode biblique qui est considéré comme un mythe par les scientifiques.

Pourtant, en 2002, deux géologues ont affirmé que ces dix plaies pourraient être bien réelles. Selon eux, l’éruption du Santorin a pu engendrer une série de catastrophes naturelles dont l’ouverture de la mer qui a permis à Moïse et à son peuple de fuir l’Egypte." Extrait de Dinosaria site ludo educatif

Pour mémoire voici les 10 plaies (pour ma part j'avais en tête qu'il n'y en avait que 7 ?!) :
« ….toutes les eaux qui sont dans le fleuve se chargèrent en sang »

« …les grenouilles montèrent et recouvrirent l’Egypte »
« …toute la poussière du sol se changea en moustiques »
« …des taons en grand nombre entrèrent […] dans tout le pays d’Egypte »
« …tous les troupeaux des égyptiens moururent »
« …gens et bêtes furent couverts d’ulcères bourgeonnant en pustules »
« …Yahvé fit tomber la grêle sur le pays d’Egypte »
« …les sauterelles […] couvrirent toute la surface du pays… »
« …il y eut d’épaisses ténèbres… »
« …tous les premiers-nés mourront dans le pays d’Egypte… »
Extraits du Livre de l’Exode, chapitres 7 à 12. Bible de Jérusalem, traduction des dominicains de l’Ecole biblique. Editions Fleurus/Cerf


Découvrez sur le site http://www.dinosoria.com/ comment on peut expliquer scientifiquement chacune des 10 plaies... impressionnant ! surtout la première concernant les eaux du fleuve qui se chargèrent en sang...


Et si vous avez plus de temps, il y a la possibilité  de voir gratuitement (jusqu'au 29 janvier 2010 SEULEMENT) sur le site internet de France 5 un documentaire sur ce sujet (en trois fois 50 minutes)

"les 10 plaies d'Egypte" Illustrations Aurore de la Morinerie

Parler de voyage quand Haïti se débat pour survivre

Les événements soudains et catastrophiques nous rappellent régulièrement combien notre quotidien est confortable par rapport à celui de millions de terriens mais soulignent également la précarité de notre présence sur cette terre... d'une minute à l'autre la mort peut être là.

Alors, parler de voyage et de rêve pourrait être tout à fait obscène et déplacé alors que notre action pourrait être tournée vers ceux qui souffrent...

Mais pourquoi ne pas faire les deux ?

N'est-ce pas parce qu'on arrive à se ressourcer et prendre de l'énergie dans la découverte du monde, la vue du beau mais parfois du malheur aussi, l'écoute de ceux qui sont différents en d'autres lieux que nous arrivons justement à accompagner, tous les autres jours de l'année ceux qui souffrent près de nous ?
Souvent, ceux qui critiqueront nos voyages sont les premiers qui, certe, ne voyagent pas mais n'ont pas non plus d'action quotidienne bienveillante à leur actif.
Nous avons la chance de pouvoir maintenant voyager, de faire découvrir modestement à ceux qui le désirent, des lieux, des personnes, des histoires de pays qui enrichiront notre curiosité des autres et nous sensibiliserons aux autres cultures. Mais notre quotidien est également, à notre petite échelle, fait d'actions concrêtes et sincères auprès de ceux qui n'ont pas notre chance. Mais devons nous vraiment apporter des justificatifs pour avoir le droit de voyager ?

Certe, j'ai fais une pause dans ce blog ces derniers jours. Nous nous sommes inquiétées avec une amie sur le sort de sa soeur (et sa famille) qui travaillent dans le batiment de l'ONU de Port au prince, nous avons suivi les actions à entreprendre avec l'association CARE que nous soutenons tous les mois depuis des années pour son action à Haiti en particulier.. mais tout en restant vigilantes à ce que nous pourrions faire pour Haïti aujourd'hui et la Somalie demain etc..., nous allons poursuivre ce modeste blog.
Nous n'irions pas nous baigner dans une baie de Haiti comme les touristes d'un bateau de croisière américain qui, il y a 2 jours, a mouillé à quelques kilomètres de Port au prince pour laisser ses passagers barboter dans les eaux turquoises de ce pays vivant le chaos...mais, sommes nous certaines qu'en croisant les riverains du Nil quand nous le descendrons en bateau, nous ne serons pas un peu décalées, même avec toutes nos meilleures intentions du monde !
Le débat pourrait être vif, chacun y allant de ses arguments tous aussi percutants et judicieux les uns que les autres... Comme l'objet de ce blog n'est cependant pas d'ouvrir une tribune sur le sujet, je pense pour ma part, que tout est question d'état d'esprit au départ, de posture... Si on voyage en manifestant du respect pour les personnes rencontrées, les lieux visités, avec une attitude d'écoute et une curiosité sincère de l'autre, il me semble que c'est déjà "ok".



© Yann Arthus-Bertrand / Vu du ciel - Montagnes pelées au nord de la ville de Comendador, à la frontière de la République dominicaine, Haïti (19°08’ N - 71°44’ O).



Première colonie établie par Christophe Colomb en 1492, l’île d’Hispaniola fut longtemps surnommée la « perle des Antilles ». Les plantations (sucre, café, indigo, épices…) y étaient diverses et nombreuses, la terre était fertile et la forêt couvrait la majeure partie du territoire. Officiellement séparées en 1844, la République dominicaine et la république d’Haïti vont connaître des destins très différents. Cette dernière, victime de coups d’État et de dictatures successives, sombre progressivement dans une misère extrême, incompatible avec toute préoccupation environnementale. Afin de s’approvisionner en charbon de bois pour la cuisine, la population croissante déboise systématiquement les forêts, qui ne couvrent plus aujourd’hui que 1,4 % du territoire. Les sols ainsi mis à nu, lessivés par les violentes averses tropicales, s’érodent et se dégradent. Face à ce cercle vicieux difficile à rompre, la pauvreté et la pression démographique sont à la fois les causes et les conséquences de la déforestation sauvage.

mercredi 13 janvier 2010

Livres de voyage

Dès qu'on signale à son entourage son intention de partir dans tel ou tel pays, on voit souvent des yeux briller et des propositions surgir :
"Ah oui ? vous allez là bas ? tu veux que je te prête les bouquins que j'ai sur ce pays ?"
"Mais oui, mais oui... avec plaisir !"
J'adore ça ces échanges, ces livres qui ont soit déjà servi pour un voyage et alors on y retrouve les annotations et commentaires des voyageurs précédents, le ticket d'entrée au musée machin truc, le tracé sur une carte qui alerte sur le chemin le plus pratique ou le plus envoutant ; soit au contraire n'ont jamais servi, achetés un jour à la Fnac où on rêvait d'entreprendre quelques escapades, manipulés en long en large et en travers et attendant leur jour de gloire...

Tout ça pour dire que pour préparer notre expédition égyptienne j'ai déjà en poche (et je dis ça plus particulièrement à nos 2 comparses au cas où elles auraient eu l'intention d'en acheter...) :

Le guide Gallimard de l'Egypte (Kivousavéoupa est une fana des guides Gallimard)
Le guide illustré du musée égyptien du Caire (620 pages quand même !)
Le guide du routard Egypte
Le guide du routard G Palémo (vous savez ce dictionnaire visuel universel qui permet de se faire comprendre dans toutes les langues donc en Egypte aussi)
Le beau livre Géo Egypte
et surtout, surtout le magnifique bouquin de Robert Solé "Voyages en Egypte"

J'adore ce livre qui, sur 300 pages raconte l'Egypte visitée, parcourue par les voyageurs politiques ou scientifiques puis par les premiers touristes de l'Agence Cook. Ces scientifiques découvreurs de merveilles et ces premiers touristes ont pris les premières photos de ces sites aujourd'hui connus du monde entier. Le livre nous présente ces photos rares.

Cette Egypte là nous ne la verrons pas... Pourtant, j'aurais bien aimé voir le sphinx émergeant du sable comme sur la photo ci-dessous. Cela devait être impressionnant dans ce désert. Ne regrettons rien, car le voir désensablé avec le Caire à l'horizon doit apporter également son lot d'émotions...


lundi 11 janvier 2010

Et si on parlait cuisine?

Je ne pouvais commencer ce blog autrement que par une évocation culinaire. L'une de mes questions lorsque je regarde vers un ailleurs étant: "qu'est ce qu'ils peuvent (pouvaient) bien manger?".
De l'époque des Egyptiens de l'antiquité, on ne retrouve pas de recettes et il est difficile de reconstituer des menus, en revanche, les statuettes ( chebtis) apportent des informations sur les pratiques alimentaires : serviteurs préparant le pain, écrasant des céréales, brassant la bière...
La nourriture de base du petit peuple, était des oignons avec du pain fait à base d'orge, du blé d'amidonnier ( la plus vieille céréale cultivée),de sorgho (gros mil) et la bière (faite à base d'orge additionnée de cumin, gingembre ou de myrte), du poisson : mulet remontant le Nil, de la viande lors de grandes occasions.
Pour l'élite, de la viande: mouton, porc, volaille, boeuf, gazelles, gibiers d'eau, foie gras et oeufs d'autruche. Poisson et viandes étaient grillés, conservés dans des saumures, rotis, séchés ou confits. Des légumes : ail, oignon, fèves, pois chiches, lentilles, choux, laitues, et aussi lotus et papyrus. Des fruits : datte, raisin, grenade, pastèque,melon, caroube, sycomore (sorte de figue rouge), persea (sorte d'avocat), le souchet (roseau au gout de noisette). Le miel destiné aux patisseries (et à usage thérapeutique). Boissons : le vin et la bière de dattes ( seremet).
Et maintenant: à vos casseroles!!

Ce que nous ne verrons pas

Les articles d'avant le départ non pas pour objet de montrer tout ce que l'on verra car à ce moment là pas la peine d'y aller
Selon mon grand-père Ouisse "on voyage très bien dans les bibliothèques, même mieux qu'en vrai" qu'il disait !

Donc, aujourd'hui, voici un petit aperçu de ce que l'on ne verra pas cette fois-ci mais qui devrait déjà donner envie d'y retourner à une autre occasion...les déserts d'égypte dont le Désert blanc (de calcaire et non de sel).

Les trois photos suivantes sont l'oeuvre d'Olivier Morice que je ne connais pas mais qui a un site extraordinaire de récits de ses voyages. Je dis extraordinaire, non pas par la technologie utilisée ou le graphisme déployé mais tout d'abord pour les destinations qui sortent un peu des sentiers battus et surtout pour le fait que je n'ai jamais vu un site de voyages aussi synthétique.

Malgré les centaines de photos qu'il a certainement prises à chacun de ses voyages il a le don de n'en sélectionner que très peu pour la mise en ligne... juste celles qui nous suffisent à comprendre et à avoir envie de partir voir de nos propres yeux... De même ses textes sont intéressants, renseignés et pourtant très courts... sans aucun doute, ce doit être l'effet désert... une sorte de chameau du blog !





dimanche 10 janvier 2010

Histoire de proportions

Il semblerait que les proportions "pharaoniques" des sites et monuments sont assez frappantes quand on voyage en Egypte... Il est certain que si on compare la surface au sol des pyramides de Gizeh avec les quartiers et maisons toutes proches du Caire, on peut en effet se faire déjà une idée des proportions...



Cette photo satellite m'a impressionnée la première fois que je l'ai vue car les photos, mille fois prises et diffusées de ces pyramides, ne sont jamais prises avec Le Caire en arrière plan... on a toujours l'impression que ces pyramides sont en plein désert... Or la photo satellite nous montre qu'il n'en est rien. Quand nous y seront, j'aimerais bien avoir l'occasion de prendre en photo ces pyramides sous un angle plus inattendu...


vendredi 8 janvier 2010

Do you speak hiéroglyphe ?

Pour qui a la chance de savoir lire, rien n'est me semble-t-il, plus dépaysant voir déroutant que de circuler en terre inconnue sans que l'oeil ne se pose jamais sur des signes familiers.
En égypte se croiseront alphabet arabe et hiéroglyphes...

Alors quand on apprend une langue, voir un alphabet, qu'apprend-on à reconnaitre en premier ?
Son prénom bien sur !

Au travail...


jeudi 7 janvier 2010

Demandez le programme !

13 mai Vol Paris / Le Caire
14 mai Le Caire Visite nécropole Saqqarah + pyramides Guizeh
15 mai Le Caire Le musée des antiquités égyptiennes et le Caire islamique
16 mai Le Caire  - Luxor
17 mai Luxor La Nécropole Thébaine : vallée des Reines, des nobles, des artisans, temple de Hatshepsout
18 mai Luxor survol au lever du soleil en montgolfière de la vallée thébaine puis Transfert privé sur le Steam Ship Sudan  (bateau de "Mort sur le Nil)
Découverte de la rive Est de Louxor avec la visite du complexe de Karnak"
19 mai Luxor/ Esna / Edfou Départ tôt le matin (06h00) à la découverte de la nécropole thébaine. "
20 mai Edfou / Kom ombo Le matin, départ pour la visite du temple d'Edfou
Retour à bord et navigation vers Kom Ombo pour une arrivée au coucher du soleil.
En soirée, visite du temple de Kom Ombo"
21 mai Kom ombo / Assouan Visite du temple de Philae
22 mai Assouan Débarquement du Steam Ship Sudan puis départ en convoi en minivan privé avec chauffeur vers Abou Simbel retour le soir même
23 mai vol Assouan / Le Caire / Paris